Le 4è livre de Joseph Davidovits
La Bible avait raison, tome 2
Sur les traces de Moïse et de l’Exode
Joseph Davidovits
ISBN: 2 86553 190 2 – 22 € – Éd. Jean-Cyrille Godefroy, Paris, 2005
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Dans le tome 1 de la Bible avait raison, j’avais découvert une fresque égyptienne, vieille de plus de 3300 ans, qui est le plus ancien texte copié mot pour mot dans la Bible. Ainsi, le Patriarche Joseph, le « premier Hébreu », est en réalité Aménophis Fils de Hapou, le plus éminent scribe et savant de l’Égypte, grand chancelier du pharaon Amenhotep III et qui inspira Akhenaton, le pharaon monothéiste.
Les récentes découvertes archéologiques et les documents historiques prouvent que les Hébreux sont des vrais Égyptiens et non des bergers étrangers vivant en esclavage. En changeant ce principe, on retrouve toutes les traces et tout devient plus clair.
Ce tome 2 nous conduit sur les pas de Moïse et révèle pour la première fois les vraies causes de l’Exode. Sans traiter du religieux, je dévoile au grand public toutes les traces archéologiques. Moïse vécut sous les Ramsès de la XXe dynastie (1150 av. J.-C.). Il était le grand intendant de l’Ordre du Temple Funéraire d’Aménophis Fils de Hapou (le Patriarche Joseph).
On explique la rencontre entre Moïse et les Hébreux lors des fameuses grèves des artisans hebrers (les Hébreux) refusant de travailler dans les conditions imposées par Pharaon. Les conséquences sont bien connues: les persécutions de la confrérie de l’Ordre d’Aménophis Fils de Hapou et des artisans hebrers aboutirent à l’Exode au début de la XXIe dynastie vers 1080-1060 av. J.-C., soit 200 ans après Ramsès II. Cette nouvelle datation correspond aux données archéologiques et aux vestiges retrouvés en Égypte, en Israël et en Palestine. Les textes égyptiens qui relatent ces évènements importants de l’Histoire existent. La question est de savoir pourquoi ils ont été ignorés par les spécialistes égyptologues.
Encore aujourd’hui, donner une lecture de la Bible qui fasse appel à la science n’est pas la voie d’interprétation des textes sacrés qui soit la plus usitée jusque-là. En outre, l’opinion la plus répandue veut qu’en règle générale, la science infirme le récit biblique et le relègue au rang d’aimable conte ou allégorie. Les travaux de l’archéologue israélien Israël Finkelstein (cf. le livre La Bible dévoilée ainsi que le documentaire récemment programmé sur France 5) ont eu le mérite de poser les bonnes questions, sans toutefois apporter les réponses cohérentes. Ils soutiennent les assertions des minimalistes, ceux pour qui tout ce qui est écrit dans la Bible n’est que pure invention. Actuellement, les déconstructeurs sont nombreux et font la « une » des magazines.
La sortie du tome 2 s’accompagne d’un 4e tirage pour le premier tome de La Bible avait raison dont la couverture se voit attribuée également le numéro 1.